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TEXTE
Oh au-delà de l’aube d’avril s’éloigne un bataillon
De sentiment cherchant asile au fond d’un cœur à l’abandon
Au delà de l’aube d’avril s’accroche le compagnon
De l’indéchiffrable code subtil savoir ou non s’ils s’aimaient
S’accorder un peu plus que nos signes hésitant
Démêler ce code confidentiel
Désarroi réveille la bête
Prend garde qu’elle ne parte en quête
En quête de ce qu’il l’obsède
S’acharne jusqu’à ce que tu cèdes
Oh au-delà de l’aube d’avril creuseras-tu le sillon
Quitte à faire fuir ce crocodile troublé par tant d’indécision
Loin des cris où se noya son esprit fuyant l’effroi
D’au-delà de l’aube d’avril fuir mais ils s’aimaient
A trop rêver nos heures
Télépathie de lire tes pensées
Fantasmer la saveur
Quand tout s’efface ne garder que l’anxiété
Désarroi réveille la bête
Prend garde qu’elle trouve une nouvelle quête
En quête de tout ce qu’il l’obsède
S’acharne jusqu’à ce que tu cède
Est-il bien utile d’aggraver cette délicate paranoïa
Et sous la pression céder aux avances qui suscitent l’émoi
Il faut qu’on cache il faut il faut qu’on reste muet
Des maniaques du sous entendu latent et circonspect
Coïter Coïter Coïter Coïter
C’est le temps de concrétiser nos souhaits
Oh au-delà de l’aube d’avril tu restes une illusion
FICHE TECHNIQUE
K-Lizeüm, 2015
Composée par Jean-Marc Ernes, Grégory Facella et Thomas Facella
Texte de Jean-Marc Ernes