La violence des pogos m’avait marqué à l’époque. Les extrémistes de gauche et de droite aussi. J’en ai fait une chanson. J’étais contre toute forme de violence. Le fameux « foudroyé par la colère » en a marqué plus d’un. « Et les fleurs si peu abordables » est un clin d’œil à Jacques Brel. Ce titre était souvent réclamé.
SON
TEXTE
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Que tu sois noir blanc ou beige tant que tu saignes c’est bon
Raciste ou pas c’est la guerre la baston c’est tellement con
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Un but pour tapper tes frères t’as toutes les excuses c’est bon
Raciste ou pas c’est la guerre la baston c’est tellement con
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Foudroyé par la colère rien ne compte dans la baston
Si ta gueule me casse les nerf tant que tu saigne c’est bon
Raciste ou pas c’est la guerre la baston c’est tellement con
Et les fleurs si peu abordables
Si tu es dans la misère y’aura toujours la baston
Si tu es dans la misère y’aura toujours la baston
Recrutement des solitaires pour en faire un tas de gros cons
Raciste ou pas c’est la guerre la baston c’est tellement con
Mais vachement plus abordable
FICHE TECHNIQUE
Arkham, 1993
Composée par David D’Ascenzo, Jean-Marc Ernes et Philippe Pironet
Texte de Jean-Marc Ernes